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villamil02

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Description :

Bonjour à toi qui débarque sur ce blog participatif,

Toute critique peut être constructive dès lors qu'elle est formulée honnêtement et argumentée.
Plus de 1.000.000 visites sur le blog, et tout autant sur le profil et plus de 35.000 commentaires. Ce blog a dépassé le demi-million de visites et va essayer de traiter de sujets sociétaux et vous proposera des sondages pour que vous puissiez vous exprimer. Je vous invite à commenter pour dire ce que vous en penser. Changement de cap au 1er janvier 2019.
Ce qui ruinera définitivement le pays, ce seront ses politiciens qui, n'arrêtant pas d'ajouter du malheur au malheur, des lois aux lois et de changer de pied pour danser, finiront par rendre toute initiative impossible.
Ce qui est absurde est d'accepter le monde tel qu'il est aujourd'hui et de ne rien faire pour le rendre comme il devrait être.

La justice, la liberté, la solidarité, la tolérance, le respect, l'équité, sont des valeurs essentielles de la démocratie.

Les mots fraternité, liberté et égalité sont de plus en plus abîmés par bon nombre de dirigeants politiques, favorisant de facto la montée des nationalismes, de la xénophobie ordinaire et du libéralisme économique.

L'État doit se concentrer sur les fonctions régaliennes ; le département s'occuper des entreprises, de l'emploi, de l'accessibilité du territoire, de la solidarité sociale et territoriale ; et le bloc communal, des services de proximité et du lien social.

Le terreau du terrorisme, lui, il est bel et bien dans notre pays. Il a pour noms : chômage, échec scolaire, inégalités territoriales, discriminations, stigmatisations, pseudo-identité nationale construite sur le rejet d'une partie des citoyens, mais aussi la négation de pans entiers de l'histoire de notre pays. Donc il ne suffit pas que de boycotter l'Arabie saoudite et le Qatar pour venir à bout de cette idéologie, il faut aussi lutter contre le chômage, la pauvreté, les injustices, les inégalités et l'échec scolaire.

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La santé

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Une étude de la Caisse nationale de l'assurance maladie en avril 2016 fait un constat préoccupant : le nombre de médecins libéraux ne cesse de diminuer en France. Ils étaient 114 400 en 2015, contre 116 600 en 2011, soit 1,9 % de moins, alors que la population française a augmenté de 2,2 %. Le repli est plus marqué pour les généralistes que pour les spécialistes.
Ce constat rejoint celui, plus large, dressé par le « Panorama de la santé 2015 » de l'OCDE, l'organisation qui regroupe les pays les plus développés de la planète. Selon cette étude, la France est très en retrait de ses principaux partenaires européens pour ce qui concerne le nombre de médecins pour 1 000 habitants. Elle n'en compte en 2013 que 3,3 contre 6,3 en Grèce, 5 en Autriche, 4,9 dans la Fédération de Russie, 4,1 en Allemagne,...
Autre signe inquiétant : le corps médical français vieillit. La France est l'un des pays où la proportion de médecins âgés, ayant plus de 55 ans, est la plus élevée : 45 %. La moyenne pour l'OCDE est de 33 % et l'on trouve, parmi les pays ayant l'effectif le plus jeune, le Royaume-Uni avec un taux de seulement 13 % de médecins de plus de 55 ans, l'Irlande avec 21 %, les Pays-Bas avec 25 %, l'Espagne avec 26 %. Et l'on ne peut espérer un redressement rapide : la France est dans le peloton de queue pour ce qui concerne le nombre de nouveaux diplômés de médecine avec un taux de 9 pour 100 000 habitants. Même si ces dernières années les limitations à l'entrée des facultés de médecine ont été légèrement desserrées, elles restent encore trop sévères.
On a voulu faire de la politique de gestion des personnels de santé un outil de la limitation des dépenses d'assurance maladie, escomptant qu'en réduisant l'offre de médecins on pourrait freiner plus facilement la hausse des dépenses maladie. En fait, on a abouti à créer des déserts médicaux sur le territoire. En ce domaine aussi la prétendue « politique de l'offre » est en échec. À vouloir faire du corps médical le garde-chiourme des politiques d'austérité successives et à tenter de transformer les établissements de soins en entreprises, on a rendu la santé malade. Les critères de la rentabilité financière inspirent désormais les gestionnaires des hôpitaux au détriment de la qualité des soins et de l'égalité entre patients. Aussi, les besoins non satisfaits d'examen ou de traitement médical sont-ils passés de 3,5 % en 2005 à 6,6 % en 2014. La contribution directe des Français à leurs dépenses de santé tend à croître. Des hôpitaux, accablés de dettes, sont au bord de la faillite. 
 

Mieux rembourser les soins optiques et dentaires.
Zéro reste à charge. (500 millions d'euros)
Lutter contre les fraudes
Lutter contre les addictions
Réforme du calendrier vaccinal pour le rendre plus pertinent
Mise en vente de vaccin à dose unique et sans aluminium
Meilleure information des parents et des patients
Contrôle de l'eau potable
Interdire les produits toxiques
Autoriser l'usage médical du cannabis
Lutter contre les déserts médicaux
Augmenter les capacités d'accueil de la filière médecine
Inscrire la lutte contre le cancer et les addictions en cause nationale
Ne plus rembourser les produits homéopathiques
 
 
Tags : La santé, La médecine, Les médecins, Les hôpitaux, Les cliniques, Les experts, Les spécialistes, Les généralistes, Le cancer, Les maladies, Assurance maladie, Sécurité sociale, Présidentielle 2022, Lutter contre le cancer, Hors-norme, Lutte contre les addictions, Le tabac, L'alcool, Le cannabis, L'homéopathie, Le sport, L'euthanasie, Hors norme, La télémédecine, L'hypnose
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#Posté le mercredi 07 décembre 2011 20:20

Modifié le mardi 16 octobre 2018 16:36

L'environnement.

L'environnement.
L'environnement.
L'environnement.
Agir pour l'environnement est nécessaire et essentiel dans le monde dans lequel on vit. Il est inconcevable de penser que cela va s'arranger, en ne faisant rien. Il est important de changer les mentalités pour que les générations futures puissent vivre dans le monde qu'on va leur laisser en héritage.
Il ne faut pas oublier que les activités humaines dégradent l'environnement : prélèvement des ressources sans souci de leur renouvellement, déforestation, éradication des espèces animales et végétales, pollution de l'eau, des sols, de l'air... et menacent la survie de tous et de la biodiversité terrestre et marine. Certaines ressources, comme les énergies fossiles, ne sont pas renouvelables, et sont consommées de façon massive, jusqu'à épuisement : de plus, toutes les étapes de leur exploitation et de leur consommation sont extrêmement nocives pour l'environnement. De plus, le niveau de pollution est à un niveau inquiétant.


- Construction de centrales solaires
- Construction de récupérateurs d'eaux
- Développement de l'hydrolien
- Préservation des espaces verts urbains
- Réaménagement des friches industrielles
- Rénovation énergétique des bâtiments existants.
-Impôt pour les entreprises polluantes
- Favoriser l'implantation des entreprises non-polluantes
- Favoriser l'achat de véhicules électriques
- Mise en place d'une pastille pour les véhicules étrangers
- Sortie du nucléaire
- Fos sur mer
- NDDL
- Construction de pistes cyclables
- Augmenter l'offre des transports publics.
- Baisse de la TVA dans les transports.


 
Tags : L'environnement, La planète, La terre, L'eau, La pollution, Le bio, La santé, L'agriculture, La consommation, La qualité, Les déchets, Les transports, La biodiversité, L'énergie, Le réchauffement climatique, Les énergies renouvelables, Le pétrole, L'uranium, Présidentielle 2022
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#Posté le samedi 24 décembre 2005 08:41

Modifié le jeudi 29 novembre 2018 10:54

Les prestations sociales.

Ce questionnaire en ligne simple vous donnera un montant mensuel pour chaque prestation et vous donnera accès aux démarches.

via : mes-aides.gouv.fr


Les prestations sociales.
Les prestations sociales.




Les prestations sociales (ou transferts sociaux) sont des transferts versés en espèces ou en nature à des individus ou à des familles afin de réduire la charge financière que représente la protection contre divers risques. Elles constituent une des formes de la redistribution des revenus et représentaient, en 2015, 32 % du produit intérieur brut (PIB), à hauteur de 701,2 Md¤. Si on rajoute les frais de fonctionnement et de gestion, les dépenses de protection sociale ont représenté 34% du PIB pour un total de 746,6 Md¤.

Elles sont associées à six grandes catégories de risques :
- La vieillesse et la survie (pensions de retraite, pensions de réversion, prise en charge de la dépendance). le plus important, il représente près de la moitié des prestations versées chaque année (45,6% des prestations en 2015, soit 319,7 Md¤), en raison du poids des retraites. Il inclut la prise en charge de la dépendance qui n'est pas reconnue comme un risque à part entière, malgré la mise en place de l'allocation personnalisée d'autonomie, instituée par la loi du 20 juillet 2001, et de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie, créée par la loi du 30 juin 2004 ;
- La santé (prise en charge totale ou partielle de frais liés à la maladie, à l'invalidité, aux accidents du travail et aux maladies professionnelles) représente plus du tiers des prestations versées annuellement (34,9% des prestations servies en 2015, soit 244,9 Md¤) ;
- La maternité-famille (prestations familiales : prestations liées à la maternité, allocations familiales, aides pour la garde d'enfants) représentait 7,7% des prestations en 2015 (54,2 Md¤) ;
- La perte d'emploi (indemnisation du chômage) et les difficultés d'insertion ou de réinsertion professionnelle) soit 6,2% des prestations en 2015 (43,6 Md¤) ;
- Les difficultés de logement (aides au logement) recouvrent les différentes aides versées aux ménages pour faire face à leurs dépenses de loyer ou de remboursement d'emprunt, soit 2,6% des prestations en 2015 (18,1 Md¤) ;
- La pauvreté et l'exclusion sociale(minima sociaux : revenu minimum d'insertion- RSA, minimum vieillesse, etc.) constitue 3% des prestations (20,7 Md¤).
 

Les deux tiers de ces prestations sont financés par les organismes de Sécurité sociale.


Les impôts et les prestations sociales réduisent nettement les inégalités de niveau de vie entre les plus riches et les plus pauvres. La redistribution fonctionne en France, mais les écarts sont considérables à l'origine.


Sans redistribution, plus d'un Français sur cinq vivrait sous le seuil de pauvreté


Tags : Les prestations sociales, L'emploi, La santé, Vieillesse et survie, Maternité, Le logement, L'exclusion, Le chômage, La pauvreté, La lutte contre la pauvreté, APL, Prime d'activité, RSA, Sécurité sociale, L'impôt sur le revenu, Les impôts indirects, La TVA, La redistribution, Caisse d'allocations familiales, La CAF
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#Posté le lundi 01 mars 2010 15:30

Modifié le jeudi 29 novembre 2018 10:52

Les banlieues.

La banlieue se définit aujourd'hui comme l'ensemble des communes périphériques à la ville-centre d'une agglomération, administrativement indépendante de cette dernière même si elle se trouve dans une situation de dépendance du point de vue historique et surtout fonctionnelle avec celle-ci. Les banlieues forment avec la ville-centre une unité urbaine.
On estime qu'un peu plus de 20 millions de personnes (36,5 %) vivent dans des banlieues regroupées sur 3 395 communes.
Les formes du bâti sont très variées et répondent souvent à des catégories socioprofessionnelles distinctes. Souvent, les banlieues aisées sont formées d'ensembles de maisons individuelles (ex. : habitat pavillonnaire à Marcq-en-Baroeul entre Lille et Roubaix) mais il n'y a rien de systématique, tandis que les zones de grands ensembles sont plutôt dominées par les classes socio-professionnelles (CSP) modestes (ex. : à Sarcelles, les ouvriers représentent la CSP la plus importante des chefs de ménages). Les ZAC (Zones d'Aménagement Concertées créées en 1967) ont remplacé les ZUP (Zones à Urbaniser en Priorité créées en 1958). Ce qui frappe, c'est surtout l'imbrication des différentes formes de bâti. S'il donne l'apparence d'une structure homogène, il n'en est rien et les visages des banlieues d'habitation varient grandement.
Trop souvent, les médias et les hommes politiques utilisent le terme de « banlieues » pour désigner des espaces en crises, qui cumulent les problèmes de la société contemporaine. Si certains quartiers de banlieues connaissent effectivement des situations très tendues (violence, incivilités, ...) qui bénéficient d'initiatives publiques (zones franches urbaines), ces « points chauds » ne représentent qu'une partie infime des espaces de banlieues même s'ils font souvent la « Une » de l'actualité.
Le « mal des banlieues » prend sa source dans une combinaison de difficultés que les pouvoirs publics continuent à traiter isolément.
les banlieues et les quartiers populaires sont  confrontés à une multitude de problèmes combinés entre eux. 
Les entrepreneurs identitaires et les clientélistes électoraux prospèrent sur l'idée d'une nécessaire « séparation » pour éviter la « contamination » par les « cultures » venues du dehors.
En France il y a une tendance à la ghettoïsation, mais pas de ghetto au sens strict. Certes, si vous êtes d'origine immigrée, vous avez plus de chance de vous retrouver dans un quartier périphérique et ethnicisé que de vivre dans un quartier central et « petit blanc », mais ce n'est pas le produit d'une injonction légale et policière, et votre espace de vie continuera de comporter une mixité relative, contrairement, par exemple, au ghetto noir aux Etats-Unis. Par contre il y a du ghetto dans les têtes : le sentiment d'être parqué, d'être mis à l'écart. 


La solution réside dans les transports, la mixité, la lutte contre le racisme, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre le chômage, la lutte contre le décrochage scolaire, l'intégration, ...


- Améliorer les réseaux de transport en commun
- Promouvoir la mixité sociale
- Lutter contre le racisme et les discriminations
- Lutter contre la pauvreté
- Lutter contre le chômage
- Remettre l'école au c½ur des banlieues

Les banlieues.
Les banlieues.


Tags : banlieue, Discriminations, Les jeunes, Les femmes, L'emploi, le chômage, Les talents, La délinquance, La criminalité, La santé, La sécurité, Pointées du doigt, Quartiers défavorisés, La pauvreté, Les injustices, Racismes, ségrégation sociale, Les entreprises, Le sport, Le milieu associatif, École, Scolarité, L'apprentissage, Le travail, Le logement, Les transports, Les transports en commun, Le permis de conduire, La mixité sociale
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#Posté le mercredi 20 juillet 2005 12:05

Modifié le mardi 08 mai 2018 11:51

L'euthanasie.

L'euthanasie.


La question de la place de l'euthanasie est source de débats.
 
En France, la « mort est encadrée principalement par deux lois : la loi de 2002 sur le droit des malades et la Loi Léonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des patients en fin de vie.
L'idée générale est de favoriser les soins palliatifs, d'interdire l'« euthanasie active » et d'empêcher le médecin de pratiquer une « obstination déraisonnable » dans le soin des malades en fin de vie. Un équilibre est aussi recherché entre le fait d'éviter des souffrances jugées inutiles à un patient qu'on estime voué à la mort, et celui de le maintenir en vie.
La loi de 2002 a ainsi abouti à la reformulation du Code de déontologie médicale, lequel dispose désormais que le médecin :
« doit s'abstenir de toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique et peut renoncer à entreprendre ou poursuivre des traitements qui apparaissent inutiles, disproportionnés ou qui n'ont d'autre objet ou effet que le maintien artificiel de la vie. »
Le Code de santé publique (L1110-5) prévoit par ailleurs la possibilité d'abréger les souffrances :
« Les professionnels de santé mettent en ½uvre tous les moyens à leur disposition pour assurer à chacun une vie digne jusqu'à la mort. Si le médecin constate qu'il ne peut soulager la souffrance d'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, qu'en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d'abréger sa vie, il doit en informer le malade, sans préjudice des dispositions du quatrième alinéa de l'article L. 1111-2, la personne de confiance visée à l'article L. 1111-6, la famille ou, à défaut, un des proches. La procédure suivie est inscrite dans le dossier médical. »
« Art. L. 1111-10 Code de la santé publique. - Lorsqu'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, décide de limiter ou d'arrêter tout traitement, le médecin respecte sa volonté après l'avoir informée des conséquences de son choix. La décision du malade est inscrite dans son dossier médical. »
Le 27 janvier 2016, le Parlement vote une nouvelle loi sur la fin de vie fixant notamment un droit à une "sédation profonde et continue" et un éclaircissement des mesures sur les directives anticipées.
Le 2 février 2016 est promulguée la loi Leonetti-Clayes, dite la " petite loi ", finalement adoptée par l'Assemblée nationale après de longs débats. Le Code de la santé publique intègre les modifications intervenues à la suite de cette loi, notamment sur les soins palliatifs, les directives anticipées et la personne de confiance. La loi instaure également la sédation profonde et continue jusqu'au décès.
 
En France, l'Association du droit à mourir dans la dignité milite depuis 1980 pour que l'euthanasie soit autorisée en France. La déléguée de l'association dans le Nord, Lise-Marie Meyssonnier, relativise ce recours à la Belgique : "Ces derniers mois, j'ai eu six ou sept appels à ce sujet, cela n'a rien à voir avec ce que certains médias appellent le tourisme euthanasique !".
 
- Autoriser l'acte d'euthanasie sous quatre conditions :
le patient doit être majeur ou mineur émancipé, capable et conscient au moment de sa demande ;celle-ci doit être formulée de manière volontaire, réfléchie et répétée et ne résulte pas d'une pression extérieure ;le patient se trouve dans une situation médicale sans issue et fait état d'une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable.Le médecin qui pratique l'acte doit être volontaire, aucune personne ne peut être contrainte d'y participer.
Tags : La santé, L'euthanasie, La dignité humaine, La laïcité, Le suicide assisté, Les maladies incurables, La médecine, Les médecins, L'hôpital, Les cliniques, La loi léonetti, Le droit, Les religions, La souffrance, La famille, Mourir dignement
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#Posté le lundi 27 juin 2005 14:10

Modifié le vendredi 11 mai 2018 16:53

Le droit du travail.

Le droit du travail.
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Le droit du travail.


Les relations du travail sont régies par le Code du travail et les conventions collectives au regard des pratiques propres à chaque secteur d'activité. Le Code du travail est le regroupement en un seul ouvrage de l'ensemble de la principale réglementation résultant des lois, des décrets et des règlements et régissant les relations de travail. Une convention collective institue des dispositions non prévues par le Code du travail (exemples : période d'essai, salaire minimum, primes, congés, conditions de travail, etc.). Une convention collective adapte et améliore également des dispositions générales du Code du travail aux situations particulières d'un secteur d'activité (exemple : indemnité de départ).
 
- 1841. Une loi interdit le travail des enfants de moins de huit ans, limite la journée de travail à huit heures pour les 8-12 ans et à douze heures pour les 12-16 ans. Le travail de nuit (de 9 heures du soir à 5 heures du matin) est interdit aux moins de 13 ans, et pour les plus âgés, deux heures comptent pour trois.

- 1864. Une loi autorise les coalitions. La grève est désormais tolérée.

- 1884. La loi dite « Waldeck-Rousseau » instaure la liberté syndicale.

- 1892. Une loi limite et réglemente le travail des femmes et des enfants et créé le corps des inspecteurs du travail.

- 1898. La loi sur les accidents du travail établit le principe de la responsabilité patronale.

- 1900. La loi Millerand abaisse à onze heures la durée du travail journalier.

- 1906. Instauration d'un repos obligatoire hebdomadaire de 24 heures. Création du ministère du Travail sous le gouvernement Clemenceau.

- 1910. Loi instituant le Code du travail.

- 1919. Une loi apporte un premier cadre institutionnel aux conventions collectives et constitue alors une étape décisive dans la construction du droit de la négociation collective.

- 1936. « Accords de Matignon » (semaine de 40 heures sans perte de salaire, congés payés, assurances sociales...). Une loi du 24 juin 1936 sur les conventions collectives introduit la procédure d'extension qui permet de rendre applicables à l'ensemble d'une profession les conventions conclues par les organisations syndicales les plus représentatives. La convention peut librement traiter de questions non prévues à titre obligatoire, si elles sont plus favorables que celles des lois et règlements en vigueur. C'est l'origine du principe dit « de faveur ».

- 1945. Ordonnances instituant les comités d'entreprise et la sécurité sociale
 
- 1946. Le préambule de la constitution de 1946 reconnaît le droit à la santé, le droit à la protection sociale, le droit d'adhérer au syndicat de son choix, la non-discrimination dans l'emploi...

- 1950. Décret sur le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG).
 
- 1956, le Parlement vote la troisième semaine de congés payés.

- 1958. Convention créant le régime national interprofessionnel d'allocations spéciales aux travailleurs sans emploi dans l'industrie et le commerce. Pour la première fois, tout travailleur ayant perdu son emploi a droit à un revenu de remplacement.

- 1968. Les Accords de Grenelle prévoient notamment l'augmentation du SMIG et permettent aux syndicats de constituer des sections syndicales et de désigner des délégués syndicaux au sein des entreprises.

- 1970. Loi « portant création d'un salaire minimum de croissance », le SMIC.

- 1982. Ordonnances instaurant la durée du travail à 39 heures, 5 semaines de congés payés et l'abaissement de l'âge de départ à la retraite. Les quatre lois Auroux modifient de manière importante le droit du travail, en mettant l'accent sur la responsabilisation des acteurs sociaux (salariés, syndicats, chefs d'entreprise), en instaurant par exemple des accords de branche dérogatoires à la réglementation du travail ou en créant les Comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).

- 1988. Loi « relative au revenu minimum d'insertion » (RMI).

- 1998. Loi dite « Aubry I » sur la réduction générale de la durée du travail à 35 heures.

- 2002. Loi de « modernisation sociale » définissant de façon plus restrictive le licenciement économique, instituant le recours à un médiateur et renforçant le contenu du plan social.

- 2007. La loi de modernisation du dialogue social rend obligatoire une phase de concertation avec les partenaires sociaux avant tout projet gouvernemental de réforme dans les domaines des relations du travail, de l'emploi ou de la formation professionnelle, en vue d'une éventuelle négociation collective nationale et interprofessionnelle.

- 2016. La loi relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, dit loi El Khomri, élargit les thèmes sur lesquels le chef d'entreprise et les représentants du personnel peuvent, par accord, fixer leurs propres règles. Elle institue le principe de l'accord majoritaire – les accords seront jugés valides s'ils sont signés par des syndicats ayant obtenu plus de 50 % aux élections dans l'entreprise – et la possibilité de recourir aux votes des salariés en cas de litige. Elle prévoit aussi de nouveaux droits à destination des salariés, notamment le compte personnel d'activité.
 
La France dispose d'un système de sécurité sociale pour tous les salariés qui regroupe quatre types d'assurance : assurance maladie, assurance vieillesse, allocations familiales et accidents de travail. Le système est complété par des régimes obligatoires d'assurance chômage et de retraite complémentaire. L'employeur peut aussi choisir librement des assurances complémentaires selon le statut des salariés de son entreprise (santé, prévoyance, retraite). L'employeur paie des cotisations sociales qui le libèrent de ses engagements en matière de maladie, de retraite et de chômage. Leur montant représente environ 65 % dont 45 % à la charge de l'employeur et 20 % à la charge du salarié. Les travailleurs indépendants non salariés adhèrent à des régimes moins coûteux aux avantages réduits.
 
Des solutions existent afin de permettre plus de créations d'emploi en France:
 
- Supprimer les articles inutiles et incompréhensibles
- Simplifier le code du travail.
- Protéger davantage les salariés.
- Augmenter le montant du SMIC horaire à 12.50 euros brut
- Réduire les charges sociales et patronales.
- Revoir la fiscalité.
- Soutenir les PME, créatrices d'emploi.
- Augmenter les plafonds d'indemnisation à 30 mois.
Tags : Le monde du travail, Le droit du travail, Employeurs, Employé(e)s, Les syndicats, La protection sociale, La santé, Le licenciement, La démission, Le contrat de travail, La période d'essai, La rémunération, Le salaire, Le SMIC, Primes, Congés, Conditions de travail, Rupture conventionnelle, Rupture unilatérale, Plafonnement des indemnités de licenciement
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#Posté le lundi 12 décembre 2005 17:52

Modifié le jeudi 15 novembre 2018 16:08

L'outre mer français.

L'outre mer français.
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L'outre mer français.
L'outre mer français.
Les Outre-mer comprend les territoires de la République française éloignés de la France métropolitaine. 
Issus des anciens empires coloniaux français (xvie – xviiie siècles et xixe – xxe siècles), ces territoires sont situés en Amérique, Océanie, dans l'océan indien et en Antarctique. Ils sont soumis à des régimes administratifs et juridiques très différents.
Avec une superficie terrestre de  552 528 km2 en incluant la Terre-Adélie et une population supérieure à 2,7 millions d'habitants en 2016, l'outre-mer compte pour 17,9 % du territoire terrestre et 4 % de la population de la France.
Les départements et régions d'outre-mer (DROM) sont régis par l'article 73 de la Constitution. Ce statut concerne la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, la Réunion et Mayotte. Les lois et règlements applicables en métropole s'y appliquent de plein droit 
Les collectivités d'outre-mer (COM) sont régies par l'article 74 de la Constitution. Ce statut concerne Saint-pierre-et-miquelon, Saint-Barthélémy, Saint-Martin, Wallis et Futuna et la Polynésie française. 
Le statut spécifique de chacune des collectivités d'outre-mer est fixé par une loi organique qui précise leurs compétences et les conditions dans lesquelles les lois et règlements applicables en métropole s'y appliquent 
 
Le régime institutionnel de la Nouvelle-Calédonie est fixé par le titre XIII de la Constitution et la Loi organique relative à la Nouvelle-Calédonie du 19 mars 1999. Ces dispositions sont censées être transitoires, en l'attente de l'organisation d'un référendum d'autodétermination sur la possible indépendance de la Nouvelle-Calédonie.
La Nouvelle-Calédonie est administrée par un Congrés qui peut adopter des lois à valeur quasi-législative et qui élit le gouvernement est un organe collégial élu au scrutin proportionnel, ce qui permet d'assurer la représentation des principales familles politiques.
La Nouvelle-Calédonie est divisée en trois provinces. Collectivités territoriales, les provinces disposent chacune d'une assemblée provinciale qui élit un président de province. Les provinces ont d'importants pouvoirs puisqu'elles exercent toutes les compétences qui ne sont pas dévolues à la Nouvelle-Calédonie ou réservés à l'État.
L'État est représenté en Nouvelle-Calédonie par un Haut-commissaire de la République.
 
Le statut des territoires inhabités des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et Clipperton est fixé par la loi du 6 août 1955 :
Les TAAF forment un territoire d'outre-mer placé sous l'autorité d'un administrateur supérieur, représentant de l'État et chef du territoire. Il est basé à Saint-Pierre (La Réunion).Clipperton est placé sous l'autorité directe du gouvernement. Le ministre des Outre-mer est chargé de son administration.La situation économique des outre-mer français les situent comme des « espaces opulents », notamment en raison des flux financiers en provenance de la métropole : le PIB par habitant, l'indice de développement humain (IDH) ou l'espérance de vie des entités de l'outre-mer sont généralement largement supérieurs à ceux des pays immédiatement voisins.
Toutefois, l'économie des outre-mer est extrêmement dépendante de la métropole : 50 % à 60 % des échanges extérieurs des DROM ont lieu avec la métropole. De plus, l'agriculture, le tourisme et le bâtiment sont les trois principaux secteurs des économies ultramarines.
Les niveaux de vie en outre-mer sont de plus nettement inférieurs à ce qu'ils sont en métropole : le salaire moyen est inférieur de 10 % à celui de métropole et le chômage est près de trois fois plus élevé. Les prix sont par ailleurs parfois beaucoup plus élevé pour des produits de première nécessité.
 
La situation des Outre-mer reste celle d'une indigne pauvreté, d'inégalités quatre fois plus marquées, d'un chômage endémique qui touche un jeune sur deux, d'un taux de mortalité infantile double mais aussi, c'est le comble, d'une insuffisance d'investissements publics (inférieurs d'un tiers par habitant) qui mettent l'école en échec et les hôpitaux en nombre insuffisant. Les Outre-mer souffrent d'une gigantesque crise de l'offre, comme la métropole, mais très aggravée.
 
Chacun de ces territoires, dans leur diversité, constituent un intérêt stratégique pour la France. Il est impératif de prendre conscience du potentiel de ces territoires qui repoussent les frontières économiques. ils représentent une véritable opportunité économique. La Réunion et Mayotte sont les seuls espaces européens de la zone india-océanique et Afrique australe. Les Antilles sont les seuls espaces européens dans la zone insulaire des Caraïbes. La Guyane est le seul espace européen sur le continent américain.


Des solutions existent:


- Désenclaver ces territoires
- Ouvrir de nouveaux marchés
- Nommer un représentant du ministère de l'Économie et des Finances et du ministère des Affaires étrangères basés sur chaque territoire d'Outre mer
- Moins de subventions
- Moins de défiscalisations
- Révision pour incohérence de beaucoup de dispositifs surabondants
- Augmentation des investissements publics pour relever la productivité
Tags : L'outre mer, Départements français, Amérique, Océanie, L'océan indien, Antarctique, Guadeloupe ♥, Martinique ♥, Guyane, La réunion, Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Wallis-et-Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie, Terres australes et antarctiques françaises, Clipperton, DROM, COM, L'agriculture, Le tourisme, Le bâtiment, La pauvreté, La santé, Les inégalités, L'éducation, La Cour des Comptes
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#Posté le mercredi 08 février 2006 11:44

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