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villamil02

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Bonjour à toi qui débarque sur ce blog participatif,

Toute critique peut être constructive dès lors qu'elle est formulée honnêtement et argumentée.
Plus de 1.000.000 visites sur le blog, et tout autant sur le profil et plus de 35.000 commentaires. Ce blog a dépassé le demi-million de visites et va essayer de traiter de sujets sociétaux et vous proposera des sondages pour que vous puissiez vous exprimer. Je vous invite à commenter pour dire ce que vous en penser. Changement de cap au 1er janvier 2019.
Ce qui ruinera définitivement le pays, ce seront ses politiciens qui, n'arrêtant pas d'ajouter du malheur au malheur, des lois aux lois et de changer de pied pour danser, finiront par rendre toute initiative impossible.
Ce qui est absurde est d'accepter le monde tel qu'il est aujourd'hui et de ne rien faire pour le rendre comme il devrait être.

La justice, la liberté, la solidarité, la tolérance, le respect, l'équité, sont des valeurs essentielles de la démocratie.

Les mots fraternité, liberté et égalité sont de plus en plus abîmés par bon nombre de dirigeants politiques, favorisant de facto la montée des nationalismes, de la xénophobie ordinaire et du libéralisme économique.

L'État doit se concentrer sur les fonctions régaliennes ; le département s'occuper des entreprises, de l'emploi, de l'accessibilité du territoire, de la solidarité sociale et territoriale ; et le bloc communal, des services de proximité et du lien social.

Le terreau du terrorisme, lui, il est bel et bien dans notre pays. Il a pour noms : chômage, échec scolaire, inégalités territoriales, discriminations, stigmatisations, pseudo-identité nationale construite sur le rejet d'une partie des citoyens, mais aussi la négation de pans entiers de l'histoire de notre pays. Donc il ne suffit pas que de boycotter l'Arabie saoudite et le Qatar pour venir à bout de cette idéologie, il faut aussi lutter contre le chômage, la pauvreté, les injustices, les inégalités et l'échec scolaire.

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Le sport

Le sport
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Le sport
64% des Français pratiquent une activité physique régulière.

Les sports les plus pratiqués en club en France sont:
- Football (1 962 241 licenciés)
- Tennis (1 039 337 licenciés)
- Equitation (663 194 licenciés)
- Basketball (641 367 licenciés)
- Judo (559 080 licenciés)
- Handball (518 728 licenciés)
- Golf (407 569 licenciés)
- Rugby (381 118 licenciés)
- Natation (316 905 licenciés)
- Athlétisme (302 869 licenciés)
- Pétanque (298 000 licenciés)
- Gymnastique (293 163 licenciés)
- Voile (290 000 licenciés)
- Karaté (253 700 licenciés)
- Cyclisme (246 444 licenciés)
- Randonnée (237 167 licenciés)
- Tir (201 503 licenciés)
- Badminton (186 183 licenciés)
- Tennis de table (180 573 licenciés)
- Sports sous marins (139 490 licenciés)


Les sports les plus pratiqués en dehors des clubs en France sont:
- Marche (27,8 millions)
- Natation (12,7 millions)
- Vélo (11,8 millions)
- Ski (5,8 millions)
- Pétanque (5,5 millions)
- Football (5,3 millions)
- Course à Pied (4,6 millions)
- Musculation (4,2 millions)
- Pêche (3,6 millions)
- Tennis de Table (3,5 millions)
 
Le sport recouvre de nombreuses dimensions susceptibles d'engager l'action des pouvoirs publics. Il répond à de multiples enjeux par sa fonction éducative, socialisatrice et intégratrice, sa capacité à créer des dynamiques collectives et ses liens avec la politique de santé publique. Son mode d'organisation est caractérisé par la place importante de l'Etat, qui a noué des relations anciennes et fortes avec le mouvement sportif organisé même si d'autres acteurs se sont progressivement affirmés.
L'organisation de la politique du sport en France repose depuis plus de 50 ans sur deux principes fondamentaux : la délégation par l'État de l'animation et de la gestion du sport à des structures essentiellement associatives d'une part, et la solidarité au sein des fédérations entre le sport amateur et le sport professionnel, d'autre part.
Ce modèle comporte deux grands acteurs : les services de l'État et le mouvement sportif, lui-même articulé entre le système fédéral spécifique à chaque sport et sa représentation mutualisée, au travers du Comité national olympique et sportif français.
L'organisation et le développement du sport en France reposent sur un système particulier où les structures publiques et les groupements privés sont soumis à des dispositions législatives et réglementaires spécifiques.
La politique sportive nationale se structure autour de quatre domaines d'actions :
- le développement du sport pour tous, en particulier en direction des publics les plus éloignés de la pratique sportive 
- l'organisation du sport de haut niveau, afin de maintenir le rang de la France parmi les grandes nations sportives la prévention par le sport,
- la protection des sportifs et la lutte contre les dérives intolérables que constituent le dopage, la violence, le racisme, la tricherie et toutes les formes de discrimination 
- la promotion des métiers du sport et le développement de l'emploi sportif.
À ces quatre thématiques s'ajoute une dimension transversale qui concerne le rayonnement international du sport français et la participation à la régulation des activités sportives au niveau international et européen.
En outre, la dimension éducative et sociale de la pratique sportive, le sport comme facteur de santé et de bien-être, l'unité entre les diverses formes d'activités sportives, la solidarité entre sport professionnel et sport amateur figurent parmi les valeurs que s'attache à promouvoir le modèle sportif français.
Pour mettre en œuvre les politiques publiques du sport, le ministère chargé des sports dispose d'une administration centrale et de services déconcentrés, ainsi que d'un réseau d'établissements publics. Les directions régionales de la jeunesse des sports et de la cohésion sociale assurent un rôle de relais de l'administration centrale dans :
- le pilotage de la pratique sportive et du sport de haut niveau
- la formation et la certification des APS
- le développement des sports de nature
- de la médecine du sport
- de la prévention et de la lutte contre le dopage
- du recensement et de la programmation des équipements sportifs
- de la prévention des incivilités et de la lutte contre la violence

La dépense sportive nationale, qui était 36,5 milliards en 2012, s'élevait en 2013 à 38,1 milliards, soit une croissance de 4,5% pour une part du PIB de 1,8%, contre 1,74% un an plus tôt. Cette hausse étant principalement due à la dépense des ménages, tandis que celle du secteur public était en légère baisse et que celle des entreprises privées stagnait. En termes économiques encore, il est à souligner que les bateaux à voile et de plaisance sont les seuls biens du secteur sportif pour lesquels la France exporte plus qu'elle n'importe.
Côté emploi, le sport continue de bien se porter. En 2015, 38.324 établissements du secteur privé (+1,2% en un an) employaient 124.286 salariés, soit une hausse de 2,7% sur un an et de 14,5% depuis 2010. Les effectifs les plus importants se retrouvent dans les "activités de clubs de sport" (81.861 salariés en 2015), devant la "gestion d'installations sportives" (19.326). Notons que parmi les principales "autres activités associées au sport", si la hausse des effectifs du commerce de détail d'articles de sport en magasin spécialisé (49.282 salariés, +8,9% en cinq ans) permet d'enregistrer une hausse globale, d'autres secteurs, comme la construction de bateaux de plaisance ou les remontées mécaniques, voient leurs effectifs salariés décliner.
Enfin, les Chiffres-clés du sport 2017 nous enseignent qu'après une baisse marquée de 2012 à 2014 (-17%), le nombre de diplômes professionnels des secteurs "sports, jeunesse et vie associative" délivrés par le ministère est reparti à la hausse en 2015, à 16.986. De leur côté, les diplômes universitaires STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) de niveau licence et plus sont en constante progression : 10.654 délivrés en 2015, contre 6.105 cinq ans plus tôt.


Le sport en entreprise confirme les bienfaits traditionnellement attachés à la pratique sportive: impact sur le présentéisme des salariés, sur la prévention de troubles musculo-squelettiques et psycho-sociaux, contribution à un meilleur équilibre individuel, etc. 

Des solutions pour promouvoir le sport existent néanmoins:

- Repenser le milieu associatif et le bénévolat
- Faciliter le fonctionnement des clubs par l'allègement des procédures tout en leur proposant un accompagnement efficace. 
- Développer avec les moyens assortis dans les quartiers dits sensibles, des projets sportifs, basés sur la responsabilisation des jeunes et avec le concours des éducateurs, bénévoles et professionnels. 
- Concevoir et réaliser des équipements sportifs adaptés aux différentes formes de pratiques physiques et sportives et pour tous les publics. 
- Accroître la sensibilisation et favoriser l'accès à la pratique du plus grand nombre. 
- Faire de la pratique sportive, de ses bienfaits sur la santé et le bien-être des populations, à tous les âges de la vie, une priorité de santé publique.
- laisser une heure de temps libre dans la semaine
- allonger la pause-déjeuner
- installer une douche
- mutualisation d'infrastructures
- faire venir un coach
- diversifier le sport corporatif (loisir et compétition)
- Promouvoir les "déplacements doux"
- prendre le virage de la santé connectée,
- intégrer le sport aux politiques RSE
- envisager du télétravail partiel 
- Valoriser la pratique sportive dans le cursus des collégiens, des lycéens et des étudiants.
- Abonder le financement du CNDS par une augmentation du prélèvement sur l'ensemble des produits de la Française des Jeux et des paris sportifs en ligne à hauteur de 3%.

L'innovation est aussi d'informer, de changer les habitudes et de faire évoluer les cadres de pensée. 
Tags : Sport, Santé, Intégration, Ministère des Sports, Fédérations, Activités physiques, Emploi, Sociabilisation, Education, Economie et Finances, Travail, Aménagement du Territoire, Collectivités locales, Solidarité et cohésion sociale, DOM, TOM, Les transports, Les femmes, Les entreprises, Télétravail, Innovation, Motivation, Stress, Simplifier, Optimiser, Responsabiliser, Associations, Bénévolat, Financements, Football, Zinedine Zidane, Teddy Riner, Sébastien Loeb, Tony Parker, Martin Fourcade, Lavillenie, Alain Prost, Estanguet, Michel Platini, Jackson Richardson, Bernard Hinault, David Douillet, Marcel Cerdan, Marie-Josée Perec, Eric Tabarly, Florent Manaudou, Laure Manaudou, Edgar Grospiron, Jean Claude Killy, Laurent Jalabert, Yannick Noah, Richard Virenque, Thai Chris, Marielle Goitschel, Philippe Candéloro, Antoine Griezmann, Kylian Mbappé, Karim Benzema, Raphaël Varane, Ballon d'or, Championnat du monde, Championnat d'Europe, Sélections
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#Posté le samedi 19 février 2011 08:38

Modifié le jeudi 07 juin 2018 09:03

Les associations

Les associations
Les associations
Les associations
Les associations
On estime à 1 300 000 le nombre d'associations actives en France.
85 milliards d'euros, soit environ 3,2 % du PIB français : tel est le budget cumulé des associations actives.
165 000 associations sont des associations employeurs, qui gèrent 185 000 établissements ou sections d'associations.
A elles seules, elles emploient 1 800 000 de salariés, à temps plein ou partiel, à 69 % des femmes.

Soit 5 % du nombre de salariés dans le pays.
 
En outre, elles utilisent les compétences de près de 16 millions de bénévoles actifs.
La croissance en volume du bénévolat est de l'ordre de 4 % par an, ce qui est considérable.
49 % des ressources financières des associations sont d'origine publique (13 % des communes, 11 % des départements, 11 % de l'Etat et 9 % des organismes sociaux).
Dans les années qui précèdent la crise, les financements publics ont augmenté à un rythme annuel moyen de 1,6 % en 6 ans.
Les financements privés (51 % des ressources financières) proviennent surtout de la participation des usagers (46 %), puis des dons et du mécénat (5 %). Ces financements ont, quant à eux, crû à un rythme annuel plus soutenu de 3,5 % sur la même période.
69 % des associations sont dirigées par des hommes.
63 % des présidents sont des professions libérales, des cadres moyens et supérieurs.
32 % on plus de 65 ans.
Les subventions publiques ont diminué en six ans de 17 % pour les associations, notamment via la baisse des contributions des communes. Parallèlement, la générosité des particuliers, en progression ces dernières années, reste bien plus limitée que dans certains pays car les associations ne sont pas toutes aguerries à la collecte de fonds privés et aux stratégies marketing qui vont avec.

Des solutions existent:
Rendre le crédit d'impôt plus incitatif -
Tags : Les femmes, Les associations, La formation, L'emploi, Lien social, Lutte contre la pauvreté, Le bénévolat, Les jeunes, Collectivités locales, Départements, Régions, Présidentielle 2022
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#Posté le samedi 09 juillet 2011 16:29

Modifié le dimanche 20 mai 2018 12:00

Les banlieues.

La banlieue se définit aujourd'hui comme l'ensemble des communes périphériques à la ville-centre d'une agglomération, administrativement indépendante de cette dernière même si elle se trouve dans une situation de dépendance du point de vue historique et surtout fonctionnelle avec celle-ci. Les banlieues forment avec la ville-centre une unité urbaine.
On estime qu'un peu plus de 20 millions de personnes (36,5 %) vivent dans des banlieues regroupées sur 3 395 communes.
Les formes du bâti sont très variées et répondent souvent à des catégories socioprofessionnelles distinctes. Souvent, les banlieues aisées sont formées d'ensembles de maisons individuelles (ex. : habitat pavillonnaire à Marcq-en-Baroeul entre Lille et Roubaix) mais il n'y a rien de systématique, tandis que les zones de grands ensembles sont plutôt dominées par les classes socio-professionnelles (CSP) modestes (ex. : à Sarcelles, les ouvriers représentent la CSP la plus importante des chefs de ménages). Les ZAC (Zones d'Aménagement Concertées créées en 1967) ont remplacé les ZUP (Zones à Urbaniser en Priorité créées en 1958). Ce qui frappe, c'est surtout l'imbrication des différentes formes de bâti. S'il donne l'apparence d'une structure homogène, il n'en est rien et les visages des banlieues d'habitation varient grandement.
Trop souvent, les médias et les hommes politiques utilisent le terme de « banlieues » pour désigner des espaces en crises, qui cumulent les problèmes de la société contemporaine. Si certains quartiers de banlieues connaissent effectivement des situations très tendues (violence, incivilités, ...) qui bénéficient d'initiatives publiques (zones franches urbaines), ces « points chauds » ne représentent qu'une partie infime des espaces de banlieues même s'ils font souvent la « Une » de l'actualité.
Le « mal des banlieues » prend sa source dans une combinaison de difficultés que les pouvoirs publics continuent à traiter isolément.
les banlieues et les quartiers populaires sont  confrontés à une multitude de problèmes combinés entre eux. 
Les entrepreneurs identitaires et les clientélistes électoraux prospèrent sur l'idée d'une nécessaire « séparation » pour éviter la « contamination » par les « cultures » venues du dehors.
En France il y a une tendance à la ghettoïsation, mais pas de ghetto au sens strict. Certes, si vous êtes d'origine immigrée, vous avez plus de chance de vous retrouver dans un quartier périphérique et ethnicisé que de vivre dans un quartier central et « petit blanc », mais ce n'est pas le produit d'une injonction légale et policière, et votre espace de vie continuera de comporter une mixité relative, contrairement, par exemple, au ghetto noir aux Etats-Unis. Par contre il y a du ghetto dans les têtes : le sentiment d'être parqué, d'être mis à l'écart. 


La solution réside dans les transports, la mixité, la lutte contre le racisme, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre le chômage, la lutte contre le décrochage scolaire, l'intégration, ...


- Améliorer les réseaux de transport en commun
- Promouvoir la mixité sociale
- Lutter contre le racisme et les discriminations
- Lutter contre la pauvreté
- Lutter contre le chômage
- Remettre l'école au cœur des banlieues

Les banlieues.
Les banlieues.


Tags : banlieue, Discriminations, Les jeunes, Les femmes, L'emploi, le chômage, Les talents, La délinquance, La criminalité, La santé, La sécurité, Pointées du doigt, Quartiers défavorisés, La pauvreté, Les injustices, Racismes, ségrégation sociale, Les entreprises, Le sport, Le milieu associatif, École, Scolarité, L'apprentissage, Le travail, Le logement, Les transports, Les transports en commun, Le permis de conduire, La mixité sociale
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#Posté le mercredi 20 juillet 2005 12:05

Modifié le mardi 08 mai 2018 11:51

Les syndicats.

Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
Les syndicats.
En France, le terme a de nombreuses acceptions mais en raison de l'importance de la relation entre employeurs et employés (ouvriers et employés, techniciens, agents de maîtrise, ingénieurs et cadres), il désigne relativement souvent les organisations de défense de l'intérêt des salariés (ouvriers, employés ou cadres), souvent désignées sous le sigle « OS » (organisations syndicales) et protégées par le droit du travail, une législation particulière reconnaissant la liberté syndicale et le droit de grève.
Un syndicat est un groupement de personnes physiques ou morales pour la défense ou la gestion d'intérêts communs.
Selon plusieurs études, un taux élevé de syndicalisation permet de réduire les inégalités de revenus. Les organisations syndicales auraient tendance à privilégier des systèmes de rémunération fondés sur des critères objectifs, attachés aux emplois plutôt qu'aux individus, et à agir contre les discriminations. Selon le Fonds monétaire international(FMI), « en réduisant l'influence des salariés sur les décisions des entreprises », l'affaiblissement des syndicats a permis d'« augmenter la part des revenus constitués par les rémunérations de la haute direction et des actionnaires »
La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail a modifié en profondeur les règles de représentativité. La représentativité d'un syndicat dépend désormais de 7 critères :– respect des valeurs républicaines,
– indépendance,
– transparence financière,
– ancienneté minimale de deux ans,
– influence caractérisée par l'activité et l'expérience,
– effectifs et cotisations, audience suffisante aux élections professionnelles. Ce dernier critère, qui assoit la représentativité d'un syndicat sur des élections, devrait permettre de renforcer la légitimité des syndicats.
Au niveau patronal, trois syndicats sont reconnus représentatifs : le Mouvement des entreprises de France (MEDEF), la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) et l'Union professionnelle artisanale (UPA).Au niveau des salariés, il existe huit principales organisations syndicales, mais les plus représentatives sont la CGT (Confédération générale des travailleurs), la CFDT (Confédération française démocratique du travail), FO (Force ouvrière), la CFE-CGC (Confédération française de l'encadrement - Confédération générale des cadres) et la CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens). Ces cinq confédérations sont historiques et depuis plus de 40 ans, elles sont reconnues représentatives au niveau national et interprofessionnel. Lors d'accords professionnels collectifs, elles ont un poids différencié : 30,63% pour la CGT, 29,71% pour la CFDT, 18,28% pour FO, 10,76% pour la CFE-CGC et 10,62% pour la CFTC (chiffres pour 2013-2016). Tous les quatre ans, l'audience est réévaluée. Concernant les trois autres syndicats, l'UNSA (Union nationale des syndicats autonomes), la FSU (Fédération syndicale unitaire) et l'Union syndicale solidaire, ils sont plus récents et ne jouissent pas encore d'un poids officiellement reconnu.Financement des syndicats
Les syndicats sont financés par les cotisations des adhérents mais aussi par certaines taxes comme la contribution patronale au financement des organisations syndicales.La loi impose une publicité des comptes des syndicats. Ainsi, les syndicats dont les ressources annuelles sont comprises entre 2 000 euros et 230 000 euros doivent produire chaque année un bilan et un compte de résultats. Ces documents doivent être certifiés par un commissaire aux comptes.
 
Suite à une récente réforme, pour qu'un accord collectif de branche soit validé, il doit être signé par un ou plusieurs syndicats représentants 30% des voix et ne pas être rejeté par les syndicats représentant 50% des voix.
Le taux de syndicalisation n'aurait cessé de baisser depuis l'après-guerre, ne représentant que 8% des salariés environ. Mais leur rôle reste essentiel pour porter des revendications collectives et attirer les médias dans leurs combats. Pour relancer le syndicalisme en France, la réforme du travail souhaite généraliser le système du chèque syndical déjà en vigueur dans certaines entreprises.
Tags : Les syndicats, Le monde du travail, Les conditions de travail, Les entreprises, Les ouvriers, Les cadres, Les patrons, Le MEDEF, Les PME, Le dialogue social, Les licenciements, Négocier, Lyberté syndicale, Le droit de grève, Luttes contre les discriminations, Les femmes
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#Posté le jeudi 11 août 2005 11:56

Modifié le mercredi 20 juin 2018 15:44

Les gens du voyage.

Les gens du voyage.
 
La notion de "gens du voyage" est une notion administrative créée en droit français pour désigner la communauté des voyageurs ne disposant pas de domicile fixe, restant très vague pour éviter toute stigmatisation, préjugés ou méprises liées à un sujet sensible et ne blesser personne. L'expression a été ensuite reprise par les lois dites Besson qui ont organisé l'accueil des gens du voyage sur les aires destinées à cet effet dans les communes de plus de 5 000 habitants. Ce sont des citoyens français intégrés économiquement, exerçant les métiers de commerçants ambulants et de forains notamment, et qui ont fait initialement le choix d'une vie non sédentaire. Tous ne sont pas itinérants, certains sont considérés comme des « gens du voyage sédentarisés »
 
La 1ère loi Besson du 31 mai 1990 oblige les villes de plus de 5 000 habitants à prévoir des emplacements de séjour pour les nomades, ce qui a pu amener des situations complexes pour les communes proches de cette limite. La seconde loi "Besson", la loi no 2000-614 du 5 juillet 2000, définit à présent les règles. Elle  impose la construction et la mise à disposition d'aires permanentes d'accueil par les villes de plus de 5 000 habitants pour les gens du voyage. Celles-ci, équipées de locaux sanitaires individuels, comme de bornes de distribution d'eau et d'électricité, ont un coût d'aménagement élevé de l'ordre de 75 000 euros par place (plus des coûts d'entretien), lequel coût est assumé selon les cas par les Conseils généraux, l'État, les communautés urbaines, ou/et les communes.

En mars 2003, la loi sur la sécurité intérieure renforce les peines encourues lors d'occupation illégale de terrains (six mois d'emprisonnement et 3 750 euros d'amende, possibilité de saisie des véhicules automobiles, possibilité de suspension du permis de conduire). La loi du 7 novembre 2018 porte les peines encourues à un an d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende.

En novembre 2005, l'Assemblée nationale a adopté l'assujettissement à la taxe d'habitation des personnes résidant dans un habitat mobile terrestre dans la loi de finances 2006.

En 2018, à la suite d'une proposition de loi, un nouveau texte modifie les règles en vigueur dans trois domaines ː il clarifie le rôle de l'État, des collectivités territoriales et de leurs groupements, il modifie les procédures d'évacuation des stationnements illicites, il renforce les sanctions pénales.
Les gens du voyage.
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Tags : Les gens du voyage, Aires d'accueil, Les hommes, Les femmes, Les jeunes, Les enfants, Discriminations, Préjugés ., Besson
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#Posté le lundi 12 décembre 2005 17:32

Modifié le mardi 13 novembre 2018 17:03

L'ONU.

L'ONU.
L'ONU.
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L'ONU.
L'ONU.
L'ONU.
L'ONU.
L'ONU.
Avant l'ONU, d'autres organisations internationales ont œuvré pour la paix dans le monde. L'action de l'Union interparlementaire, créée en 1889, et du Bureau international de la paix, créé en 1891, a contribué à l'instauration de la Cour permanente d'arbitrage (tribunal de La Haye) en 1899. Après la guerre, elles soutiennent la création de l'Organisation internationale du travail et de la Société des Nations.

La Société des Nations est fondée en 1919 avec la signature du traité de versailles : son but est de préserver la paix. Elle est active entre 1919 et 1939 (de jure jusqu'en 1946). Mais sa crédibilité est éprouvée par la Seconde Guerre mondiale. Pour pallier cet échec, et afin d'institutionnaliser un nouvel espace de dialogue international, le président américain Franklin D. Roosevelt souhaite la création d'une nouvelle organisation.

Les premières bases de l'architecture internationale d'après-guerre sont posées le 14 août 1941 avec la signature de la Charte de l'Atlantique par le président des États-Unis et le premier ministre du Royaume-Uni. Les deux dirigeant "sont convaincus que toutes les nations du monde [...] devront finir par renoncer à l'usage de la violence. [...] En attendant l'institution d'un système permanent de sécurité générale établi sur des bases plus larges, il est essentiel de désarmer ces nations". Cette déclaration est complétée en septembre par la signature de neuf États européensoccupés ou en guerre contre l'Allemagne nazie, ainsi que par les Forces françaises libres.

La Déclaration des Nations unies fut signée le 1erjanvier 1942 à Washington DC par 26 États se battant contre les forces de l'Axe. C'est la première fois que l'expression "Nations unies", dont la paternité est attribuée à Franklin Delano Roosevelt, est utilisée ; elle désigne alors l'engagement des signataires à contribuer ensemble à l'effort de guerre et à ne pas signer de paix séparée avec l'Axe.

Mais ça n'est qu'avec les conférences de Moscou et Téhéran que la Chine, les États-Unis, l'Union soviétique et le Royaume-Uni reconnaissent formellement "la nécessité d'établir aussitôt que possible, en vue de la paix et de la sécurité internationales, une organisation internationale fondée sur le principe de l'égalité souveraine de tous les États pacifiques". Les quatre États se rencontrèrent ensuite à deux reprises, lors des conférences de Dumbarton Oaks et de Yalta, afin d'adopter une proposition de traité. Pour ne pas reproduire l'échec de la Société des Nations, il fut convenu que la nouvelle organisation devait être structurée autour d'un noyau dur d'États détenant une puissance objective et disposant d'un droit de véto. Finalement, ces cinq pays furent ceux considérés comme les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale : les États-Unis, la France, l'URSS(remplacée par la Russie en 1991), la Chine et le Royaume-Uni.

Le 21 juin 1945, les États ayant signé la Déclaration des Nations unies et déclaré la guerre à l'Allemagne et au Japon avant mars 1945 sont invités à participer à la conférence de San Francisco. La rencontre s'achève le 26 juin avec la signature de la Charte des Nations unies.

L'ONU a été officiellement fondée à San Francisco le 24 octobre 1945 avec la ratification de la Charte des Nations unies.

Alors que la Société des Nations n'était qu'un espace de dialogue où les diplomates pouvaient se rencontrer pour établir des consensus, l'ONU peut, avec le Conseil de sécurité, prendre des décisions concrètes. Celles-ci peuvent déboucher, par exemple, sur l'autorisation d'employer une force armée – les « Casques bleus » – pour maintenir ou rétablir la paix.

Selon l'article 1 de sa Charte, l'ONU s'efforce d'être un lieu où se construit un avenir meilleur pour tous les êtres humains, et ce à travers quatre objectifs :

Maintenir la paix et la sécurité dans le monde ;Développer les relations amicales entre les nations ;Réaliser la coopération internationale sur tous les sujets où elle peut être utile et en encourageant le respect des droits de l'homme ;Être un centre où s'harmonisent les efforts des nations dans des objectifs communs.

L'ONU n'est pas un gouvernement mondial et ne légifère donc pas. Cependant, ses résolutions donnent une légitimité aux interventions des États et sont de plus en plus appliquées dans le droit national et international. Toutes ces actions se pérennisent au travers de la signature de traités ou conventions internationales entre les nations.

Le 10 décembre 1948, l'Assemblée générale adopte la déclaration universelle des droits de l'homme. Il ne s'agit pas d'un traité : le texte n'a pas une valeur juridique en soi. Néanmoins, il constitue une source d'inspiration pour la promotion, le développement et l'exercice des droits de l'homme. C'est-à-dire qu'elle a produit des effets politiques.

Ainsi, la déclaration a inspirée neuf principaux traités internationaux relatifs aux droits de l'homme, et dont l'application est surveillée par un comité d'experts onusien: la ratification par un État l'engage à en appliquer les dispositions.

Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale (1965)Pacte international relatif aux droits civils et politiques(1966)Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (1966)Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes(1979)Convention contre la torture (1984)Convention relative aux droits de l'enfant(1989)Convention internationale sur la protection des droits des travailleurs migrants et de leur famille (1990)Convention pour la protection contre les disparitions forcées (2006)Convention relative aux droits des personnes handicapés (2006).

L'Organisation des Nations unies comprend six organes principaux :

L'Assemblée générale, où tous les États membres sont représentés et disposent d'une voix pour les recommandations qui sont portées au vote ; l'assemblée générale dispose de compétences très larges mais n'émet pas de décisions contraignantes pour les États ;Le Conseil de sécurité est plus spécialement chargé de traiter les menaces contre la paix, les ruptures de la paix ou les agressions ; il peut émettre des résolutions contraignantes pour les états ; ses pouvoirs sont définis dans le chapitre VII de la charte de l'ONU. La pratique lui permet de décider du lancement d'opérations de maintien de la paix avec le concours des États membres puisque l'ONU est dépourvue de moyens militaires propres. Le conseil de sécurité peut décider de sanctions contre un État ;Le Conseil économique et social qui aide à la promotion de la coopération économique et sociale et au développement ;Le Conseil de tutelle dont la fonction est tombée en désuétude depuis la fin de la décolonisation ;La Cour internationale de justice tranche les différends entre les états qui acceptent de recourir à sa juridiction ; elle peut également fournir des avis juridiques aux autres organes lorsqu'elle est saisie, ce qui arrive de plus en plus rarement. Elle siège à La Haye (Pays-Bas). Conformément à l'article 92 [archive] de la Charte des Nations unies, elle remplace la Cour permanente de justice internationale, dont elle utilise les jurisprudences ;Le Secrétariat qui assure la gestion quotidienne de l'organisation, y compris celle des quelque 9 000 fonctionnaires qui l'animent, et des représentants des Nations unies ;

En plus de ces six organes principaux, l'ONU a créé au fil du temps plusieurs agences spécialisées comme l'OMS pour la santé ou l'UNESCO pour la coopération internationale en matière de développement de l'éducation, des sciences et de la culture mais aussi l'UNICEF pour les enfants.

Le Conseil économique et social des Nations unies(ECOSOC) est placé sous l'égide de l'Assemblée générale et a un rôle consultatif concernant les questions de coopération économique et sociale internationales ; deux types de commissions : les Commissions techniques, comme la commission du développement durable ; les Commissions régionales, comme la CEE-ONU, (UNECE), qui participe à des travaux de standardisation comme les spécifications techniques sur le commerce électronique.

L'ensemble forme le système des Nations unies.

L'avenir de l'ONU passe de plus en plus par une réforme en profondeur de son fonctionnement. Jusqu'à maintenant, elle fut repoussée, mais le problème du budget, en particulier de sa dette, et celui du fonctionnement du Conseil de sécurité avec l'arrivée de nouveaux membres permanents et l'extension de son domaine de compétence, deviennent de plus en plus pressants. Durant son mandat, l'ancien secrétaire général, Kofi Annan, a commandé de nombreuses études sur les voies à suivre pour réformer l'organisation. Mais, par manque de consensus au sein des membres permanents du Conseil de sécurité, elles sont pour l'instant restées lettre morte. En particulier, John R. Bolton, représentant permanent des États-Unis en août 2005, soutient une position ne faisant pas l'unanimité et gèle ainsi les possibilités de réforme.

Le 7 mars 2006, le secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, a proposé, dans un rapport à l'Assemblée générale, aux États membres une vaste réforme de l'administration de l'ONU, attendue par les dirigeants mondiaux après que l'Organisation eut été secouée par une série de scandales. M. Annan a présenté une série de mesures allant de la délocalisation de certains services au renforcement du système de passation des marchés. Celui-ci a été ces dernières années mis à mal par le scandale du programme « pétrole contre nourriture » de l'ONU en Irak et lorsqu'une enquête interne a découvert des pratiques contestables dans le secteur du maintien de la paix, ayant occasionné des dizaines de millions de dollars de pertes pour l'Organisation.

Intitulé « Investir dans l'Organisation des Nations unies pour lui donner les moyens de sa vocation mondiale », ce rapport de 48 pages reconnaît l'inadaptation des structures administratives actuelles aux défis que l'ONU est censée relever chaque jour, 61 ans après sa création. Il souligne l'augmentation vertigineuse, depuis la fin de la guerre froide, des activités de terrain de l'ONU, notamment des opérations de maintien de la paix, qui représentent plus de 50 % des dépenses totales de l'ONU (en 2004-2005), soit presque de 10 milliards de dollars américains (près de trois fois le budget ordinaire), sans tenir compte des agences onusiennes (Unicef,PAM, PNUD...), qui ont leur propre budget. M. Annan propose de « refondre complètement l'ensemble du secrétariat, ses règles, sa structure, ses rouages, pour qu'il soit mieux adapté aux réalités d'aujourd'hui » et de « remettre entièrement à neuf » l'ensemble de l'organisation.

L'organisation s'est montrée largement impuissante lors de drames récents : échec de la prévention et de la protection en 1994 au Rwanda lors du terrible génocide des Tutsis qui s'est soldé par 800 000 morts. Incapacité également de prévenir et de stopper les conflits en ex-Yougoslavie de 1991 à 1995, et particulièrement d'assurer la protection des enclaves musulmanes de Bosnie-Herzégovine. Le massacre de Srebrenica (juillet 1995), pour lequel la qualification de génocide est en débat, s'est déroulé dans l'incapacité des 400 Casques bleus néerlandais d'intervenir.

En 2010, lorsqu'un séisme provoqua un désastre humanitaire à Haïti, l'ONU s'est montrée incapable de coordonner l'aide rapidement, c'est finalement l'armée américaine qui jouera un rôle clé. L'organisation internationale avait été dépassée à peine un mois auparavant lors de la Conférence de Copenhague sur les changements climatiques, les États-Unis et la Chine avaient alors conclu des accords seuls.

L'ONU est très souvent critiquée pour son inaction, certains conflits se produisant sans aucune intervention de sa part. Dans une interview menée par ARTE, la journaliste Celhia de Lavarène, ancienne employée de l'organisation, dénonce les raisons de cet immobilisme, parmi lesquelles les nominations de personnes non compétentes et les copinages avec des pays enfreignant les droits de l'homme.

D'après la spécialiste en relations internationales Anne-Cécile Robert, les principes fondateurs des Nations unies sont violés par des pays siégeant au conseil de sécurité de l'ONU, notamment dans les cas de la Yougoslavie, de l'Irak et de la Libye.

L'ONU reste paralysée par l'utilisation du droit de veto.

- Il faut réformer l'ONU
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#Posté le samedi 24 décembre 2005 08:44

Modifié le mardi 13 novembre 2018 16:54

Les rémunérations et pouvoir d'achat

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Le salaire brut mensuel moyen a augmenté de 1,4% sur un an pour l'ensemble de la population. Mais le rythme de la hausse diffère selon le métier, le sexe et la taille de l'entreprise.

Le salaire net mensuel moyen a progressé de 1,3% en France en 2015, d'après les chiffres publiés par l'Insee dans la dernière édition des Tableaux de l'économie française. Il s'élève, en équivalent temps plein (EQTP), à  2 250 euros, tous sexes et catégories socioprofessionnelles confondues. Bien sûr, des disparités existent. Aussi, le salaire net annuel moyen des femmes est inférieur de 18,5% à celui des hommes, à 1 986 contre 2 438 euros. Chez les seuls cadres, cet écart atteint même les 20%. Il tend toutefois à se réduire, puisqu'il était, sans distinction de catégorie socioprofessionnelle, de 18,6% en 2014.

Écarts de salaires net femmes-hommes en 2015


Catégorie Socio-Professionnelle               Hommes (€)   Femmes (€)   En %
Cadres                                                            5 897              4 831            -19
Professions intermédiaires                           3 221              2 792            -13
Employés                                                       2 293              2 116            - 8
Ouvriers                                                         2 329              1 958            -16
Ensemble                                                       3 239               2 659           -18
 
En plus de la catégorie socio-professionnelle et du sexe, la dispersion du salaire moyen en France s'explique par la taille des entreprises. Le constat est sans appel : plus l'entreprise est grande, plus les salaires sont élevés. Dans les très petites entreprises qui comptent moins de 10 salariés, la rémunération brute moyenne plafonne à 2 403 euros par mois en 2014 alors que, dans les entreprises de plus de 500 salariés, elle culmine à 3 336 euros. Même constat du côté du salaire net des Français qui, selon la dimension de l'entreprise, oscille entre 1 833 euros et 2 495 euros par mois.

Des solutions existent:
 
- Augmentation des salaires (tarif horaire de 12,50€ bruts pour le SMIC)
- Défiscalisation des heures supplémentaires
- Heures supplémentaires rémunérées avec une bonification de 25%.
- Augmenter la durée légale du temps de travail (variable en fonction de l'âge)
-  Réorienter des prestations sociales vers les plus faibles revenus
- Favoriser la redistribution verticale
- Développer le low-cost
- TVA à 5% pour les produits de première nécessité
Tags : Les rémunérations, Le pouvoir d'achat, Les salaires, Le taux d'inflation, Les hommes, Les femmes, Inégalités, INSEE, Redistribution verticale, Les jeunes, Les seniors, L'emploi, Les gilets jaunes, GJ
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#Posté le jeudi 06 juillet 2006 18:31

Modifié le samedi 11 août 2018 07:53

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