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Une autre France est possible

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villamil02

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Description :

Bonjour à toi qui débarque sur ce blog participatif,

Toute critique peut être constructive dès lors qu'elle est formulée honnêtement et argumentée.
Plus de 1.000.000 visites sur le blog, et tout autant sur le profil et plus de 35.000 commentaires. Ce blog a dépassé le demi-million de visites et va essayer de traiter de sujets sociétaux et vous proposera des sondages pour que vous puissiez vous exprimer. Je vous invite à commenter pour dire ce que vous en penser. Changement de cap au 1er janvier 2019.
Ce qui ruinera définitivement le pays, ce seront ses politiciens qui, n'arrêtant pas d'ajouter du malheur au malheur, des lois aux lois et de changer de pied pour danser, finiront par rendre toute initiative impossible.
Ce qui est absurde est d'accepter le monde tel qu'il est aujourd'hui et de ne rien faire pour le rendre comme il devrait être.

La justice, la liberté, la solidarité, la tolérance, le respect, l'équité, sont des valeurs essentielles de la démocratie.

Les mots fraternité, liberté et égalité sont de plus en plus abîmés par bon nombre de dirigeants politiques, favorisant de facto la montée des nationalismes, de la xénophobie ordinaire et du libéralisme économique.

L'État doit se concentrer sur les fonctions régaliennes ; le département s'occuper des entreprises, de l'emploi, de l'accessibilité du territoire, de la solidarité sociale et territoriale ; et le bloc communal, des services de proximité et du lien social.

Le terreau du terrorisme, lui, il est bel et bien dans notre pays. Il a pour noms : chômage, échec scolaire, inégalités territoriales, discriminations, stigmatisations, pseudo-identité nationale construite sur le rejet d'une partie des citoyens, mais aussi la négation de pans entiers de l'histoire de notre pays. Donc il ne suffit pas que de boycotter l'Arabie saoudite et le Qatar pour venir à bout de cette idéologie, il faut aussi lutter contre le chômage, la pauvreté, les injustices, les inégalités et l'échec scolaire.

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4 articles taggés Apprentissage

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L'éducation et l'apprentissage.

L'éducation et l'apprentissage.
L'éducation et l'apprentissage.
L'éducation et l'apprentissage.
L'éducation et l'apprentissage.
L'éducation joue un rôle décisif dans le parcours à l'âge adulte – plus le niveau de formation est élevé, plus le salaire est élevé, meilleure est la santé et plus longue est la vie. Il s'ensuit que les coûts sociaux et financiers à long terme de l'échec scolaire sont conséquents. Ceux qui n'ont pas les compétences pour prendre leur place dans la société et dans l'économie engendrent des coûts plus élevés en matière de santé, d'aides sociales, de protection de l'enfance et de sécurité sociale. Par conséquent, un système éducatif équitable qui donne à tous, sans exclure quiconque, les atouts liés à l'instruction est l'un des leviers d'équité sociale les plus puissants. L'éducation s'est considérablement développée en cinquante ans, mais les espoirs de voir cette expansion donner automatiquement naissance à une société plus juste n'ont été que partiellement réalisés. La situation des femmes a remarquablement progressé, mais globalement, la mobilité sociale n'a pas augmenté et les inégalités de revenus et de patrimoine se sont creusées dans certains pays. Alors qu'un nombre sans cesse plus grand d'élèves accède à des formations universitaires ou professionnelles, beaucoup sont encore laissés au bord du chemin. Dans l'ensemble des pays de l'OCDE, près d'un adulte sur trois n'a suivi qu'un enseignement primaire ou du premier cycle du secondaire – un réel handicap au plan de l'emploi et des perspectives individuelles. Dans le même temps, la montée en puissance des migrations pose de nouveaux défis pour la cohésion sociale de certains pays tandis que d'autres sont confrontés à des problèmes déjà anciens d'intégration des minorités. Face à ces défis, une éducation offrant l'égalité des chances et l'inclusion aux migrants et aux minorités est cruciale. L'équité dans l'éducation conforte la cohésion et la confiance sociales. La présente Synthèse étudie comment améliorer l'équité en matière d'éducation dans trois grands domaines d'action publique : la conception des systèmes éducatifs, les pratiques scolaires et extrascolaires, et les dotations en ressources. Dix mesures sont proposées qui aideraient à réduire les taux d'échec et de décrochage scolaires, concourraient à une société plus juste et à éviter les importants coûts sociaux des adultes marginalisés peu qualifiés
L'équité en matière d'éducation comporte deux dimensions. La première est l'égalité des chances, qui implique de veiller à ce que la situation personnelle et sociale – telle que le sexe, le statut socio-économique ou l'origine ethnique – ne soit pas un obstacle à la réalisation du potentiel éducatif. La seconde est l'inclusion, qui implique un niveau minimal d'instruction pour tous – par exemple, que chacun sache lire, écrire et compter. Ces deux dimensions sont étroitement imbriquées : vaincre l'échec scolaire aide à surmonter les effets du dénuement social qui est lui-même souvent facteur d'échec scolaire.
Limiter l'orientation précoce en filières et classes de niveau et reporter la sélection par
les résultats.
Gérer le choix de l'école afin de contenir les risques pour l'équité.
Dans le deuxième cycle de l'enseignement secondaire, proposer des alternatives
attrayantes, éliminer les voies de garage et prévenir le décrochage scolaire.
Offrir une seconde chance.
Repérer ceux qui prennent du retard à l'école et leur apporter une aide systématique, et
réduire les taux élevés de redoublement.
Renforcer les liens entre l'école et la famille pour aider les parents défavorisés à aider
leurs enfants à apprendre.
Tenir compte de la diversité et permettre l'inclusion des migrants et des minoritaires
dans l'éducation ordinaire.
Offrir une solide éducation à tous, en privilégiant les dispositifs pour la petite enfance
et l'instruction de base.
Orienter les ressources vers les élèves et les régions qui en ont le plus besoin.
 Fixer des objectifs chiffrés et concrets pour davantage d'équité – en particulier en
matière d'échec scolaire et de décrochage.
Création d'établissements spécialisés dans le handicap
Création de postes de professeurs
Construction de nouvelles écoles
Mixité
Une école centrée sur les savoirs fondamentaux, plus humaniste
Modifier les pratiques pédagogiques
Gratuité de l'université
Lutter contre la fracture numérique
Stages dans le monde de l'entreprise au Lycée


Tags : Liberté, Justice, La politique, Apprendre, Le bien, Le mal, Pauvreté, Richesse, Education, Apprentissage, Orientations, Choix, Les entreprises, Les inégalités, Présidentielle 2022, Hors norme
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#Posté le lundi 12 décembre 2005 06:53

Modifié le dimanche 24 juin 2018 08:35

Les enfants.

Les enfants.
Les enfants.
Les enfants.
Les enfants.
Les enfants.

L'organisation mondiale de la santé (OMS) définit l'enfance comme la période de la vie humaine allant de la naissance à 18 ans. Cependant la définition de l'enfance peut différer quelque peu selon les disciplines qui traitent du sujet. Droit, psychologie, médecine, biologie ne fixent pas exactement les mêmes repères.
L'enfant est dépendant de son environnement et gagne petit à petit son indépendance. Les caractéristiques de son environnement, ses parents, sa culture, l'époque à laquelle il est né, influencent son développement et l'interaction entre l'enfant et son environnement doit être prise en compte pour mieux comprendre son développement, en particulier son développement psychologique.
S'il existe une distinction vis-à-vis de la loi, faisant notamment que la responsabilité des enfants ne peut souvent pas être mise en cause de la même manière que celle des adultes, il existe aussi une Déclaration des droits de l'enfant émise par l'Organisation des nations Unies (ONU), et qui à l'instar de la déclaration universelle des droits de l'homme proclame des principes élémentaires et universels que les sociétés doivent viser à respecter.
Cette déclaration d'intention est enrichie par l'adoption le 20 novembre 1989, par l'ensemble des pays membres de l'ONU, de la CIDE (Convention Internationale des Droits de l'Enfant).


1 - L'enfant doit jouir de tous les droits énoncés dans la présente Déclaration.
2 - L'enfant doit bénéficier d'une protection (...) afin d'être en mesure de se développer d'une façon saine et normale (...)
3 - L'enfant a droit, dès sa naissance, à un nom et à une nationalité.
4 - L'enfant doit bénéficier de la sécurité sociale, il doit pouvoir grandir et se développer d'une façon saine (...)
5 - L'enfant (...) doit recevoir le traitement, l'éducation et les soins spéciaux que nécessite son état ou sa situation.
6 - L'enfant (...) doit, autant que possible, grandir (...) dans une atmosphère d'affection et de sécurité morale et matérielle (...)
7 - L'enfant a droit à une éducation qui doit être gratuite et obligatoire (...)
8 - L'enfant doit, en toutes circonstances, être parmi les premiers à recevoir protection et secours.
9 - L'enfant doit être protégé contre toute forme de négligence, de cruauté et d'exploitation (...)
10 - L'enfant doit être protégé contre les pratiques qui peuvent pousser à la discrimination (...)


Claire Brisset, Défenseure des Droits de l'Enfant jusqu'en 2006., a dit : « Les enfants qui vivent en France ne sont à l'évidence pas particulièrement malheureux. Ils bénéficient même d'un régime de protection, d'un système scolaire et d'une couverture sociale, parmi les plus performants du monde. Oui, mais... nous savons tous que trop d'enfants passent à travers les mailles du filet. » 


Pauvreté.
En France, plus de 2 millions d'enfants vivent en-dessous du seuil de pauvreté (avec un revenu inférieur à 950 euros par mois). Le taux de pauvreté est, par ailleurs, particulièrement élevé chez les enfants issus de l'immigration.
Le chômage, l'une des causes de cette pauvreté, est estimé à 23,7 % chez les étrangers âgés de 15 à 24 ans résidant en France.
En outre, près de 15 000 enfants sont sans domicile fixe et vivent dans la rue dans des centres d'hébergement avec leurs familles.
Violence
Chaque année en France, environ 100 000 enfants sont signalés comme étant en danger, généralement maltraités, négligés ou risquant de l'être  par leurs parents. Nombre d'entre eux sont confiés à l'Aide Sociale à l'Enfance. Le numéro « Allô Enfance Maltraitée 119 » enregistre, quant à lui plus d'un million d'appels par an.
Le Comité des Droits de l'Enfant a, par ailleurs, noté que les châtiments corporels sont encore fréquents à l'encontre des enfants, aussi bien dans le cadre familial que scolaire, en particulier dans les départements d'Outre-mer. En effet,  l'usage de la violence envers les enfants n'est pas interdit en France. Une solution pour remédier à ce problème serait d'interdire explicitement les châtiments corporels au sein de la famille dans la loi.
Mineurs demandeurs d'asile
Environ 3 000 mineurs étrangers arrivent chaque année sur le territoire français; seuls, dans l'espoir d'une vie meilleure. La situation des jeunes demandeurs d'asile est préoccupante dans le pays. Souvent, ils sont placés dans des zones d'attente dans les aéroports, sans examen précis de leur situation, ni des conséquences de leur renvoi dans leur pays. Sans connaissance de la langue française, ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. La plupart de temps, ils n'ont pas accès à un soutien administratif ou psychologique.
Ceux qui parviennent à entrer en France sans toutefois disposer d'un titre de séjour, n'ont pas accès à une formation professionnelle. Délaissés, ils sont livrés à la délinquance, aux trafics, à la prostitution... Il est donc primordial de leur accorder un statut, afin de régler leur prise en charge et, ainsi, favoriser leur intégration sociale, scolaire et professionnelle en France; ou, au moins, préparer au mieux leur retour dans leur pays d'origine.
En effet, leur statut de migrants ne justifie pas qu'ils soient privés de la jouissance de leurs droits fondamentaux. Les mineurs étrangers doivent bénéficier de l'ensemble des droits garantis par la Convention des Droits de l'Enfant (CIDE), au même titre que n'importe quel enfant français. Ils ont en particulier un droit à la non-discrimination et à la protection.
Discrimination.
Le CDE s'est montré préoccupé par le climat général d'intolérance qui règne en France vis-à-vis des enfants issus de minorités. C'est le cas des enfants Roms, tsiganes,  ceux en situation de handicap ou vivant en banlieue.
Il s'agit donc d'améliorer la prévention et la sensibilisation. Aussi bien pour les enfants que pour les professionnels qui interagissent avec eux (notamment la police, les enseignants, les assistants sociaux...), ainsi que les infrastructures d'accueil pour ces enfants.
Education
En France, on constate de grandes disparités dans l'accès et la qualité de l'éducation en rapport avec l'origine sociale. Pour les enfants issus de milieux moins favorisées, notamment ceux issus de l'immigration et vivant en banlieue, le risque d'échec scolaire est beaucoup plus élevé que chez les autres élèves. A 18 ans, la proportion d'enfants issus de familles ouvrières ayant arrêté leurs études, est six fois plus élevée que les autres. L'objectif d'égalité des chances n'est donc pas atteint.
Bien que l'instruction soit obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans, environ 150 000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans diplôme, souvent au niveau du collège.
Il s'agit à présent de trouver des solutions pour lutter contre l'inégalité des chances et l'absentéisme, ainsi que de développer le soutien nécessaire aux élèves en difficulté. Une remise en question du système éducatif est indispensable, afin de permettre à l'école d'assurer sa mission de formation et de mixité sociale.
Droit de connaître ses origines
En France, il est possible d'accoucher sous X. La filiation reste alors secrète, même si depuis 2002, une nouvelle loi facilite les démarches de recherche des parents biologiques grâce à un centre national (CNAOP), qui gère la levée du secret en cas d'accord des parents. Ce compromis ne satisfait cependant pas les opposants à l'accouchement sous X. Ceux-ci revendiquent le droit pour tous les enfants de connaître leur origine, conformément au droit à l'identité garanti à l'art. 8 de la CIDE.
Justice des mineurs
Le droit pénal des mineurs français a subi de grandes réformes ces dernières années. On constate qu'il tend malheureusement à favoriser les mesures répressives (la prison notamment) plutôt que les mesures éducatives. Cette tendance est contraire aux normes de droit international, qui préconisent que les mineurs ne soient placés en détention qu'en ultime recours. La Justice se montre particulièrement sévère avec les jeunes délinquants récidivistes, qui sont jugés comme des adultes.
Un problème important concernant les mineurs détenus est le nombre élevé d'automutilations et de tentatives de suicide enregistrées dans les prisons françaises. Un groupe de travail a spécialement été mis en place au niveau national pour tenter de résoudre ces difficultés.
 
 
Tags : Les enfants, Les droits des enfants, La maltraitance, La pédophilie, Les placements abusifs, L'innocence, La joie de vivre, L'avenir, La découverte, Apprentissage, Crèches, Écoles., Familles, La pauvreté, Le chômage, Les sans domiciles fixes, Minorités visibles, Discriminations, Immigration, Banlieues, Justice, Délinquance, CDE, CIDE, ONU, Déclaration des droits de l'enfant
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#Posté le lundi 15 août 2005 10:29

Modifié le mardi 18 décembre 2018 16:36

La sexualité.

La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.
La sexualité.

 
Pour la moitié des adolescent(e)s, en France, 17 ans est l'âge du premier rapport sexuel (17,4 pour les garçons, 17,6 pour les filles). Dans les années 1940, la moitié des femmes affirmaient avoir connu leur première expérience sexuelle à 22 ans (18 ans pour les hommes), le plus souvent avec leur mari ou futur mari. Depuis les années 1970, on assiste à une nette dissociation entre l'initiation sexuelle et le début de la vie conjugale. Aujourd'hui, le premier partenaire devient rarement le conjoint. Pour 19 % des femmes et 10 % des hommes nés après 1981, le premier partenaire sexuel est devenu le conjoint.
C'est avant tout à l'école et au cours des études que se nouent les premières relations (39 % pour les garçons, 25 % pour les filles). Viennent ensuite les soirées entre amis (10 et 15 %), les lieux de vacances (10 et 8 %), le voisinage (6 et 8 %), le travail (3 et 5 %)... Étonnamment, les lieux publics (cinéma, espaces verts, transports en commun...) conservent leur attrait puisqu'ils représentent le cadre de rencontre du premier partenaire sexuel pour 12 % des hommes et des femmes.
L'adolescence représente une délicate phase de transition entre l'enfance et l'âge adulte, où les jeunes développent leur personnalité et construisent leur identité. C'est précisément en cette période que les jeunes s'interrogent sur leur nature et leur orientation sexuelle. La question de la sexualité chez les adolescents ouvre un gros débat sur la reconnaissance de ces derniers en temps qu'êtres sexuels.
Une des principales problématiques liées à ce passage de l'enfance à l'âge adulte est la question de la sexualité. La maturation physique pendant la puberté rend l'adolescent conscient de sa sexualité et en même temps attribue au jeune un nouveau statut social, en particulier dans ses relations avec ses parents et ses pairs.
Cependant il existe une différence de perception de ce nouveau statut en fonction des contextes culturels et sociaux. De ce fait, la conception que chaque société a de l'adolescence influence la signification de la sexualité ainsi que la marge de décision reconnue aux jeunes par rapport à leur identité sexuelle et aux activités sexuelles autorisées. Et pourtant, la Convention internationale des Droits de l'Enfant de 1989 reconnait aux mineurs de 18 ans le statut d'être humain ayant leurs propres Droits de l'Homme. Lors de la conférence de l'ONU sur la Population et le Développement (Caire, 1994 et New York, 1998) ainsi que lors de la Quatrième conférence sur les Femmes en tant qu'êtres humains (Beijing, 1995), les jeunes ont été déclarés titulaires de droits à la sexualité et à la reproduction.
Le rôle de l'état est de défendre les victimes, d'éduquer la population et de lutter contre les discriminations, et la sexualité est un sujet important.
- Offrir une éducation sexuelle à l'école (à partir du collège)
- Lutter contre le viol
- Lutter contre les agressions sexuelles
- Lutter contre la pédophilie
- Lutter contre l'harcèlement sexuel
- Lutter contre les discriminations
- Lutter contre les maladies sexuellement transmissibles
- Faciliter l'accès à la contraception
- Garantir les mêmes droits à tous.
- Un meilleur contrôle d'accès à du contenu pornographique
- Âge du consentement sexuel à 15 ans
Tags : La vie, Apprentissage, Amour, La sexualité, L'homosexualité, La bisexualité, Le respect, Partenaires, L'éducation, L'éducation sexuelle, La sexologie, L'harcèlement sexuel, La pornographie, Les histoires érotiques, Le désir, Les maladies sexuellement transmissibles, La contraception, Hors-norme, Présidentielle 2022, #hors-norme, La transexualité, Le libertinage, MST, Les moyens de contraception, avortement, Liberté, Relations sexuelles
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#Posté le samedi 16 janvier 2010 09:11

Modifié le lundi 10 décembre 2018 05:43

Les jeunes

Les jeunes
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Les jeunes
 
La société française compte environ 10 millions de personnes dont l'âge est compris entre 18 et 29 ans. Près d'un quart des 18-24 ans vivaient sous le seuil de pauvreté, contre 17,6 % en 2002.
Le chômage touche, proportionnellement, davantage les jeunes (15-24 ans) que les catégories d'âge supérieures, avec une nette progression en 2009. D'après les chiffres de l'Insee, il atteint 23,4 %. Le diplôme n'est malheureusement pas une garantie contre le chômage. Entre un et quatre ans après la fin des études, diplômés comme non-diplômés connaissaient en 2014 un taux de chômage supérieur à celui constaté pendant les décennies antérieures. Cette hausse est la plus spectaculaire chez les personnes seulement diplômées du brevet (ou sans diplôme), dont 53 % étaient sans activité dans les quatre années suivant la fin des études.
Les plus jeunes salariés constituent une « variable d'ajustement ». Le risque de transition de l'emploi vers le chômage est en effet pour eux largement supérieur à celui des autres catégories d'âge. Particulièrement important au plus fort de la crise (10,5 % en 2008-2009 chez les moins de 25 ans), il a légèrement diminué pour pour atteindre 9,2 % chez les moins de 25 ans et 6,9 % chez les 25-29 ans.
Le constat est glaçant. En France, 1,8 million de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en formation ni en emploi. Et parmi eux, 80% n'ont pas atteint le niveau baccalauréat ! “Leur situation est d'autant plus précaire que le marché du travail leur est relativement hostile”
Le coefficient de Gini mesure les inégalités au sein d'une population ou d'un groupe d'âge. Il oscille entre 0 (situation d'égalité parfaite) et 1 (la plus inégalitaire possible). Concernant le niveau de vie en France, il était de 0,303 pour l'ensemble de la population et tend à se réduire considérablement, note l'Insee. Il est toutefois plus important que la moyenne chez les 18-24 ans (0,315). Cette catégorie d'âge a connu une augmentation plus importante des inégalités entre 1996 et 2012 que l'ensemble de la population (+ 0,035 contre + 0,024), toutefois moindre que chez les plus de 60 ans (+ 0,043).

700.000 jeunes de 15 à 30 ans vivent dans la solitude et l'«isolement.


- Accueil des jeunes jusqu'à 30 ans dans les missions locales.
- Mise en place d'un guichet unique pour les jeunes. Ce nouveau service devra recenser tous les dispositifs existants en faveur des jeunes et leur permettre de rentrer en contact avec un professionnel de l'accompagnement.
- Rendre l'université gratuite
- Possibilité pour les étudiants de percevoir le RSA
- Encourager l'embauche en CDI en pénalisant les entreprises qui abusent des CDD
- Renverser la logique du système de formation en apprentissage
- Privilégier les moins qualifiés pour l'accès à l'apprentissage
Tags : Les jeunes, Question sociétale, Société, Les réseaux sociaux, L'université, Solitude, Isolement, Tabagisme, Alcoolisme, Pauvreté, Chômage, Niveau de vie, L'INSEE, Drogues, Lien social, Apprentissage, Diplomes, Présidentielle 2022, Hors norme, #hors-norme
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#Posté le mercredi 07 juin 2006 07:30

Modifié le jeudi 07 juin 2018 18:32

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